Conseil en investissement immobilier
Le Conseil en investissement immobilier bordeaux et le conseil en gestion de patrimoine
Le prix d’un bien est issu d’une contradiction éternelle entre acheteur et vendeur : le premier trouvera le bien toujours trop cher, le second jamais assez. Notre rôle de conseil des familles de long terme vous permet de resituer cette transaction dans un cadre plus large vous permettant de dépasser les contingences pourtant essentielles : “le prix”.
L’immobilier est un secteur où interagisse de nombreux intervenants : agence immobilière et agent immobilier (indépendant ou non), promoteur, notaire, conseiller en gestion de patrimoine, conseiller immobilier ou encore expert immobilier ! Il est parfois compliqué de s’y retrouver, et de savoir à qui s’adresser pour espérer trouver la réponse à toutes ses questions.
Le rôle des principaux professionnels du monde de l’immobilier bordelais :
Les acteurs d’une opération immobilière varient selon la nature et l’objet de l’opération considérée. Ils ne sont donc pas toujours les mêmes et s'ils le sont leurs compétences changent ; les acteurs principaux sont les suivants :
- Les agents immobiliers d’un rôle d’intermédiaire à celui de facilitateur des opérations, un métier en total évolution au fil des changement normatifs et de l’économie immobilière,
- Gestionnaire immobilier : le gestionnaire immobilier est chargé de la gestion locative des biens immobiliers. Il peut également assurer la gestion technique, administrative et financière de ces biens.
- Les promoteurs, acteurs centraux des opérations immobilières, ils assument le risque financier et technique de l’opération de l’acquisition du terrain à l’édification du bien jusqu’à sa commercialisation. Son rôle est proche de celui du constructeur de maisons individuelles. Le client final se trouve “protégé” quant à la bonne réalisation de l’ouvrage acquis.
- Expert immobilier : l'expert immobilier est chargé de l'évaluation de la valeur marchande d'un bien immobilier. Il peut également être sollicité pour des expertises techniques de bâtiments.
- Les avocats en droit de l’urbanisme, construction, en droit fiscal, droit de la propriété en contentieux.
- Le notaire, rédacteur d’un acte “compréhensif” et exhaustif nécessaire à la sécurité juridique : leur tâche est concentrée sur la réalisation d’un acte ; ils ne s’occupent ni de l’étude préalable ni de ses conséquences.
Le spectre d’intervention du conseil de gestion s’inscrit dans un spectre élargi, au-delà de la gestion actif par actif (ici l’immobilier) à partir d’un état des lieux, nous allons aboutir à des pistes de réflexions et d’actions dans différentes acceptions :
- Economique : gestion d’un actif seul ou d’un portefeuille immobilier et de son financement,
- Stratégie d'investissement adaptée aux objectifs financiers : compléments de revenus, accroissement de capital, diversification, ou préservation,
- En fonctions du profil et de la situation du client : financière, fiscal, type de revenus, situation géographique,
- Les aiguiller dans les contraintes juridiques (fiscal et social sur les revenus et les aménagements civil présent ou ultérieure), etc...
Ainsi le conseiller en gestion de patrimoine accompagne ses clients dans l’élaboration une stratégie de gestion de patrimoine globale, dans une temporalité définie.
Un investissement immobilier inséré dans une stratégie de planification patrimoniale élargie :
La planification patrimoniale est essentielle pour tout investisseur immobilier. En effet, un investissement immobilier est important par son coût et il est nécessaire de s'assurer que l'investissement est cohérent avec les objectifs financiers à long terme de l'investisseur.
Définition des critères de planification nécessaires à l’investissement immobilier sur Bordeaux comme ailleurs :
- Définir et chiffrer les objectifs en terme financier : avant de commencer à investir dans l'immobilier, il est important de définir les objectifs financiers à long terme de l'investisseur. Cela peut inclure des objectifs de revenus passifs, des objectifs de croissance du capital, des objectifs de retraite etc.
- Évaluer sa capacité d'endettement : il est important de déterminer la capacité d'endettement de l'investisseur et d'élaborer une stratégie pour financer l'investissement immobilier. En effet la rapidité et la capacité d’action est un facteur clé dans la réussite d’un projet, les questions préalables doivent être résolues en amont de l’investissement.
- Établir un budget : un budget clair et précis permettra à l'investisseur de suivre les dépenses associées à l'investissement immobilier, de planifier les investissements futurs et de s'assurer que les coûts associés à l'investissement ne dépassent pas les revenus générés par la propriété.
- Diversifier le portefeuille : il est important de diversifier son portefeuille immobilier pour réduire les risques et maximiser les rendements. Cela peut inclure des investissements dans différents types de propriétés, des investissements dans différentes régions géographiques etc.
La planification est rébarbative : on y parle chiffres et textes de lois. Elle représente pourtant une étape cruciale dans le processus d’investissement. Elle permet à l'investisseur de maximiser les rendements de ses investissements, de minimiser les risques et d'atteindre ses objectifs financiers à long terme.
L’investissement immobilier requiert des compétences variées, nécessitant d’être accompagné par un conseil en investissement immobilier en capacité de :
- Déceler la potentialité économique d’une opération : foncier ou construit en fonction d’un programme détaillé, il est nécessaire de connaitre le marché (offre, demande, restriction, législation particulière) et les attentes des consommateurs,
- Analyse juridique et environnementale de l’investissement afin de lever toutes incertitudes et maximiser les revenus attendus de l’opération en fonction de ses caractéristiques propres (usage d’habitation, industriel, commercial ou agricole),
- Capacité à encadrer les entreprises de constructions et négocier avec elles ; organiser une délégation de maîtrise d’œuvre avec le suivi de la réalisation des opérations de travaux et d’entretien,
- Analyse financière précise par l’établissement de plan prévisionnel de trésorerie et négociation avec les établissements de crédits et d’assurance, et donc être garant de la rentabilité de l’opération projeté selon les paramètres arrêtés avec le client.
- Après la conclusion de l’opération ; conséquence fiscale (déclaration des revenus, déclaration de l’activité via le cerfa adéquat), sociale (cotisations sociales ?), comptable, lois et restrictions en vigueur.
Le rôle du conseiller en gestion de patrimoine
Le rôle du conseiller en gestion de patrimoine en tant que conseil en investissement immobilier selon la situation immobilière de son client
Du fait de son statut (il n'est ni agent immobilier, ni promoteur, ni vendeur) le rôle du conseiller en gestion de patrimoine présente un véritable atout pour la personne en attente de conseil.
Du fait de son activité, le rôle du conseiller en gestion de patrimoine (CGP) évolue en se plaçant soit du côté vendeur ou acheteur et ou encore du propriétaire d’un bien avec des attentes propres à chacun.
Les conseils généraux applicables à tout investissement est valable pour l’immobilier, vous pouvez chercher seul pour éviter des verser des honoraires, mais dans ce cadre vous devez maîtriser des notions différentes et combler un manque d’expérience dans au moins certaines d’entre elles. C’est pourquoi à vos propres recherches, il est intéressant d’approfondir votre expertise par la consultation de professionnels.
L'investissement immobilier sur Bordeaux comme ailleurs fait partie intégrante d'une gestion de patrimoine réussie, en respectant les critères suivants :
- Diversification : L'immobilier peut être une classe d'actif permettant de diversifier votre portefeuille de placements. Cependant, il est important de ne pas investir tout votre patrimoine dans l'immobilier, car cela pourrait vous exposer à des risques spécifiques à ce secteur.
- Objectifs : Avant d'investir dans l'immobilier, il est important de déterminer vos objectifs tels que la génération de revenus, l'appréciation patrimoniale à long terme ou bien la préservation du capital par diversification etc,
- Risques et rendements : Les risques associés à l'investissement immobilier existent. Cela peut inclure la fluctuation des prix du marché, la vacance locative, les coûts d'entretien et de réparation, etc. Les rendements potentiels peuvent varier en fonction des aléas et des conditions du marché,
- Fiscalité : La gestion de patrimoine implique également de prendre en compte les considérations fiscales. Les investissements immobiliers peuvent être soumis à des réglementations fiscales complexes, il est donc important de comprendre les implications fiscales sur vos revenus de chaque investissement
- Successorale : Les investissements immobiliers sont propices aux aménagements et anticipations successorales maitrisés ou subits.
Un conseiller en gestion de patrimoine peut vous aider à élaborer une stratégie d'investissement immobilier qui tient compte de ces facteurs, ainsi que de vos objectifs personnels et de les inscrire dans le temps. Un patrimoine immobilier dans la région bordelaise a connu un tel essor que sa conservation en l’immunisant de la guillotine fiscale est devenu un prérequis.
Le conseil en investissement immobilier par un CGP sur Bordeaux au côté de l’acheteur/ l’investisseur :
L’environnement juridique de l’acquisition devra tout d’abord être maitrisé afin d’en tirer toutes les conséquences à court et long terme et d’envisager des solutions d’aménagements. Le mode de détention du bien est envisagé en fonction de la situation personnelle propre de l’acheteur.
La question de l’identité et de la situation de l’acquéreur aura des conséquences multiples :
Par un couple non marié ou dans le cadre d’une union civile :
Lors d’une détention directe par un couple non marié, ce mode de propriété à plusieurs sera placé sous le régime de l’indivision légale avec des règles minimales prévues par les textes. Les disparités liées au financement du bien peuvent être inscrites dans l’acte d’acquisition. A ces règles, des aménagements juridiques complémentaires peuvent être conclus afin de se prémunir contre les accidents de la vie notamment ou la protection de l’habitation principale du concubin par :
- Des aménagements insérés dans une indivision conventionnelle,
- La rédaction d’un testament,
- Clause d’accroissement ou tontine dans l’acte d’acquisition,
- Interposition d’une société civile,
Par un couple marié
A défaut de contrat de mariage, c’est le régime de la communauté des biens réduite aux acquêts, avec des spécificités liées à l’objet acquis (résidence principale ou investissements locatifs), qui s’applique. Le financement est aussi à prendre en compte : remploi de fonds propres dans un bien commun, ou encore lors d’une construction sur un terrain propre à l’un des conjoints.
Par un couple marié sous un régime séparatiste :
Dans ce cadre le financement du bien indivis peut devenir problématique. A défaut de règles matrimoniales spécifiques, le Code Civil s’applique littéralement, chacun de époux devant alors contribuer aux charges du mariage à hauteur de ses capacités respectives. Les praticiens du droit de la famille que sont les notaires ne stipulant bien souvent dans les contrats de mariage (rédigé par leurs soins, sans être du sur-mesure) que des clauses génériques renvoyant aux articles du Code Civil privant la partie lésée de toutes voie de recours.
Une acquisition par un des membres du couple en instance de divorce, les conséquences sont variables selon les conditions du divorce et le régime matrimonial du couple. En synthèse, seul le jour du prononcé effectif du divorce dissout une union maritale entre deux personnes.
Les atouts d’un compromis bien verrouillé :
L’acte authentique clos le processus d’acquisition d’un bien mais l’avant contrat “compromis” rédigé sous l’assistance de l’agence ou d’un notaire est crucial : les clauses suivantes sont souvent nécessaires :
- Conditions suspensives : sur des évènements futurs incertains frappant le débiteur de l’acte (acheteur), on retrouve ici les détails techniques sur l’état du bien non exhaustifs : états hypothécaires, la purge des droits de préemptions privé ou publique, obtention d’un prêt (montant maximal, taux, durée), l’obtention d’une autorisation administrative, vente d’un bien par l’acquéreur ou achat d’un bien par le vendeur, absence de charges ou servitudes légales ou conventionnelles.
- Clause de substitution : lorsque des personnes n’ont pas encore décidé quelle serait l’architecture de leur organisation patrimoniale de long terme. Ils peuvent encore sursoir à leur décision finale par le biais de cette clause en ménageant la possibilité d’introduire à l’acte une ou des entités nouvelles ou anciennes qui réaliseront l’opération d’acquisition immobilière pour leur compte.
Le financement de l’opération : à quelle mode de financement recourir ?
Lors d’une opération de financement les paramètres principaux suivants sont à étudier :
Les conditions de garanties associées à l’opérations de financement :
- Suretés personnelles ; il s’agit le plus souvent de société de caution (le coût final du cautionnement collectif est connue lors du remboursement total du prêt en général 30 % des frais de cautionnement initiaux). Et les cautions personnelles, ce cas de figure se présente souvent lorsque l’acquéreur utilise une société de capitaux (SARL de famille, SAS ou les engagements des actionnaires sont cantonnés au capital de la société). Il faut être dans ce cas vigilant à la portée de la caution donnée à l’établissement de crédit et aux conséquences futures de ce type d’engagement sur les possibilités futures d’endettement supplémentaire notamment.
- Suretés réelles : d’autres garanties contre le défaut de paiement peuvent être prises par l’établissement de crédit. Les deux principales sont :
- L'hypothèque légale spéciale du prêteur de deniers, réservée aux biens anciens sans travaux. Cette garantie présente une forme authentique et doit être inscrite par le notaire au service de publicité foncière (à vos frais : en général de 0,5% à 1% lors de sa prise d’effet ou dans le cadre de sa levée anticipée en général 1 à 2% du capital restant dû) opposable aux tiers permettant de faire jouer les droits de suite ainsi que de fixer un rang pour chaque créancier.
- L’hypothèque légale concerne tout type d’opération ; acquisition et travaux d’amélioration par exemple, garantie plus onéreuse que la précédente. Elle doit être levée avant tout acte de disposition sur le bien par voie notarié.
- D’autres suretés sur des biens mobiliers existent comme le “nantissement” sur des biens fongibles en général (assurance-vie),
Au-delà des garanties, un contrat de financement se caractérise par (selon l’ordre d’importance) :
- Montant des échéances : flux négatif à financer comprenant la charge d’intérêts, le principal (remboursement du capital emprunté) et les frais d’assurance emprunteur (décès ou décès et invalidité). Son montant dépend du capital emprunté et de la durée de l’emprunt.
- Durée de l’emprunt : cela dépend de la nature de l’opération : investissement ou bien de jouissance,
- Modalité d’emprunt : amortissable (échéance = capital + intérêts) ou ”in fine” (échéance = intérêts seuls calculés sur montant restant dû qui est fixe jusqu’à échéance finale),
- Taux d’intérêts : fixe ou variable,
- Prévoyance : la banque prêteuse se garantie contre les risques de la vie encourue en cas de sinistre, l’assureur verse directement les fonds dans les livres de la banque.
L’ensemble de ces paramètres devront être mis en cohérence avec votre projet d’investissement dans le cadre d’un conseil en investissement immobilier sur mesure.
Dans notre rôle de conseiller en investissement la fiscalité doit être prise en compte afin d’en minimiser les coûts liés à l’acquisition (droit d’enregistrement, inscription aux services de publicité des hypothèques), de la perception des revenus de son bien immobilier par des solutions fiscales adaptées. Cette démarche doit être constante : de l’origine aux obligations déclaratives fiscale annuelles.
L'importance du conseil en investissement immobilier pour les vendeurs de biens sur Bordeaux
Toute personne souhaitant vendre un bien recherche à tirer le meilleur profit de cette transaction. Un Conseil en Gestion de Patrimoine accompagne son client dans cette démarche. Dans ce rôle nous devons être en mesure de répondre aux questions que se posent le vendeur d’un bien immobilier. Vendre un bien immobilier peut être une décision difficile, qui implique de nombreux aspects financiers, juridiques et fiscaux. Pour maximiser le rendement de votre investissement, il est important de bénéficier des conseils avisés d'un Conseiller en Gestion de Patrimoine spécialisé dans l'investissement immobilier.
L'importance de la planification patrimoniale dans le processus de vente immobilière : les raisons d’une cession d’un bien immobilier, le rôle du conseil en investissement immobilier :
Le but est l'évaluation des raisons de la vente en les replaçant dans le contexte de l’investisseur et de ses objectifs à court et à long terme.
Le conseiller en gestion de patrimoine peut également aider à évaluer la valeur marchande du bien immobilier et les tendances du marché immobilier afin de déterminer s'il est opportun de vendre à l’instant T.
En outre, le conseiller en gestion de patrimoine aide à évaluer les coûts associés à la vente, tels que les frais d'agence immobilière, les impôts relatifs à la fin d’une mise en location dans le cadre d’un bien défiscalisant ou d’engagement de location, ou encore le calcul de la plus-value. Des conséquences d’une vente, droit de préemption du locataire par exemple. Il peut vous permettre également aider à évaluer les implications fiscales de la vente, fiscalité sur la plus-value immobilière telles que les impôts sur les gains en capital.
Enfin, le conseiller peut aider à déterminer les options de réinvestissement des gains de la vente, en proposant des solutions adaptées à la situation financière et aux objectifs de l'investisseur immobilier.
En résumé, le conseil en gestion de patrimoine de l'investisseur immobilier vendeur aide à prendre une décision éclairée sur la vente d'un bien immobilier en évaluant les objectifs financiers, la valeur marchande du bien immobilier, les tendances du marché immobilier, les coûts de vente et les implications fiscales, ainsi que les options de réinvestissement des gains de la vente.
Les modalités d’une vente immobilière, la mission du conseil en investissement immobilier : Quand vendre et à quel prix
Les principaux objectifs sont de : vendre le bien immobilier au meilleur prix possible ; minimiser les coûts liés à la vente ; minimiser les coûts fiscaux et de trouver des solutions pour réinvestir les gains de la vente.
Notre mission d’accompagnement du vendeur porte sur les éléments suivants :
Valorisation du bien immobilier : Lors d’une démarche de cession, deux types d’attitude peuvent être adopté : la première, rationnelle, basée sur une véritable volonté de vente : cela passe par être au prix du marché ou une autre d’un optimisme forcenée basé sur l’espoir d’une vente hors marché nécessitant le coup de cœur :
- Dans un cadre rationnel, le conseil a toute sa place en aidant le vendeur à déterminer la valeur marchande de son bien immobilier en réalisant une évaluation précise. Il peut également fournir des conseils sur les travaux à effectuer pour améliorer la valeur du bien immobilier.
- Lorsque l’on évoque la réussite d’un projet (ici de cession) cela peut être pertinent si évidement “cette démarche” est bornée par un cadre précis : dans le temps (gestion des annonces (visites, contraintes d’entretien, fiscalité), pour dissiper le cas échéant une fausse idée du prix pouvant alors détourner durement le bien d’une transaction.
Ensuite une stratégie de commercialisation peut être adoptée par la sélection du canal de vente approprié (en direct ou par agence ou encore enchère notariale par exemple). Le moment de la vente est également un enjeu (en fonction du type de bien ou de ces usages potentiels) ; des périodes de l’année s’avèrent par expérience plus porteuses que d’autres.
Également, le conseiller peut aider le vendeur à trouver des solutions pour réinvestir les gains de la vente de son bien immobilier d’une manière transitoire ou de moyen ou long terme. Cette démarche de conseil, prévaut en général en amont d’une décision de vente et peut en être le motif, passe par l’alignement des objectifs et des risques des solutions proposées avec ceux des futur ex-propriétaires immobilier. Nous pouvons alors fournir des conseils sur d’autres produits d'investissement immobilier, mobiliers disponibles sur le marché et sur les stratégies d'investissement adaptées à la situation financière et aux objectifs du vendeur.
Les Conséquence fiscale/juridique de la vente sur le bien et sur les propriétaires successifs
La décision de vendre un bien immobilier peut avoir des conséquences juridiques et fiscales pour l'investisseur immobilier vendeur. Le conseil en gestion de patrimoine peut aider à évaluer ces conséquences et à prendre une décision éclairée.
Les restrictions juridiques à la vente :
Les modes de vie en commun et les conséquences sur la liberté de disposer :
- Vendeur marié : Tout dépend du régime matrimonial adopté par le couple marié, à défaut de contrat de mariage les époux sont en communauté légale. Dans ce cadre, la vente d’un immeuble est un acte de cogestion : l’accord des deux est nécessaire, la perception des fruits de la vente respecte le même principe. En revanche pour les biens propres, seul son propriétaire peut décider et les fonds reçus sont également des biens propres (attention toutefois au formalisme nécessaire, la préemption de communauté peut perturber le caractère propre de l’actif en remploi). En séparation de biens, chacun peut administrer ses propres biens librement, de même s'il s’agit du logement familial.
- Vendeur pacsé : cela dépendra également du régime adopté par les partenaires lors de la signature du pacs.
Sur le plan juridique, la vente d'un bien immobilier peut entraîner des implications telles que la nécessité de fournir des documents et des informations sur le bien immobilier, comme les relevés de titre de propriété, les certificats de conformité et les contrats de locations en cours. Le Conseil en Gestion de Patrimoine peut aider à vérifier la disponibilité de ces documents et à conseiller sur les mesures à prendre pour répondre aux exigences légales.
Sur le plan fiscal, la vente d'un bien immobilier peut entraîner des implications telles que les impôts sur les gains en capital. Le Conseil en Gestion de Patrimoine peut aider à évaluer l'impact de ces implications fiscales sur le patrimoine de l'investisseur immobilier et à proposer des stratégies pour minimiser les impôts.
Le Conseil en Gestion de Patrimoine peut également aider à évaluer les options de réinvestissement des gains de la vente, qui peuvent avoir des implications fiscales supplémentaires. Par exemple, si l'investisseur immobilier réinvestit les gains dans un autre bien immobilier, il peut être admissible à des allégements fiscaux.
En résumé, le Conseil en Gestion de Patrimoine de l'investisseur immobilier vendeur peut aider à évaluer les implications juridiques et fiscales de la vente d'un bien immobilier, ainsi que les options de réinvestissement des gains de la vente. En travaillant avec un conseiller compétent, l'investisseur immobilier vendeur peut prendre une décision éclairée qui maximise les avantages financiers et minimise les risques et les coûts associés à la vente.
Le conseil du propriétaire immobilier :
Cela concerne les personnes ayant déjà un patrimoine immobilier et cherchant à l’optimiser : audit de la situation actuelle, proposition d’optimisation et d’arbitrage (vente, régimes fiscaux etc).
- Veille juridique sur l’environnement immobilier
Le conseil en gestion de patrimoine de l'investisseur immobilier propriétaire peut également jouer un rôle important dans la veille juridique pour aider à protéger son patrimoine immobilier.
Dans le cadre de la gestion de patrimoine immobilier, il est important de suivre les évolutions des lois et des réglementations dans le secteur immobilier afin de s'assurer que l'investisseur immobilier est en conformité avec les normes juridiques en vigueur et que son patrimoine est protégé contre les risques juridiques.
Le conseiller en gestion de patrimoine peut aider à suivre les développements juridiques importants en matière d'immobilier, tels que les changements de réglementation en matière de location, de copropriété, de droit de propriété, de fiscalité et d'urbanisme. Cela permet à l'investisseur immobilier de rester informé et de prendre des décisions éclairées pour protéger son patrimoine immobilier.
Le conseil en gestion de patrimoine peut également aider à mettre en place des procédures de conformité pour s'assurer que l'investisseur immobilier respecte les normes juridiques en vigueur et éviter les risques juridiques potentiels. Cela peut inclure la mise en place de processus de vérification des documents et des contrats, la réalisation de contrôles réguliers pour s'assurer que le bien immobilier est conforme aux normes juridiques en vigueur, et la mise en place de mesures pour réduire les risques liés à la responsabilité civile.
En résumé, le conseil en gestion de patrimoine de l'investisseur immobilier propriétaire peut jouer un rôle important dans la veille juridique pour aider à protéger le patrimoine immobilier contre les risques juridiques potentiels. En travaillant avec un conseiller compétent, l'investisseur immobilier peut être sûr de rester informé des derniers développements juridiques et de prendre les mesures nécessaires pour protéger son patrimoine.
- Pour l’entrepreneur, protection du logement familial
Lorsqu'un investisseur immobilier est également un chef d'entreprise, le rôle du conseil en gestion de patrimoine est encore plus important pour assurer la croissance et la préservation de son patrimoine.
En tant que chef d'entreprise, l'investisseur immobilier peut être confronté à des défis uniques liés à la gestion de son patrimoine, tels que la gestion de la trésorerie de l'entreprise, la planification de la succession, la rémunération des employés, la fiscalité des bénéfices, etc.
Le conseil en gestion de patrimoine peut aider l'investisseur immobilier propriétaire à naviguer dans ces défis en fournissant des conseils sur les stratégies de diversification, les options de financement, les opportunités d'investissement et la planification fiscale. Le conseil peut également aider à déterminer la meilleure structure juridique pour les investissements immobiliers, en fonction des objectifs de l'investisseur et de sa situation financière globale.
Le conseiller peut également aider à planifier la succession de l'entreprise et du patrimoine immobilier, en élaborant des stratégies pour minimiser les droits de succession et les coûts de transmission. Le conseiller peut également aider à la planification de la retraite et à la mise en place de plans d'épargne-retraite pour l'investisseur et ses employés.
Enfin, le conseil en gestion de patrimoine peut aider l'investisseur immobilier propriétaire à gérer les risques liés à la propriété et à l'exploitation d'immobilier, tels que les risques de responsabilité, les risques de dommages, les risques d'assurance, etc.
En résumé, le conseil en gestion de patrimoine peut jouer un rôle crucial pour l'investisseur immobilier propriétaire qui est également chef d'entreprise. En travaillant avec un conseiller compétent, l'investisseur peut être sûr de prendre les bonnes décisions financières pour assurer la croissance et la préservation de son patrimoine, ainsi que la réussite de son entreprise.
- Analyse des tendances économiques stratégie d’adaptation
Le conseil en gestion de patrimoine de l'investisseur immobilier doit également tenir compte de l'analyse macroéconomique dans ses recommandations. L'environnement économique et politique peuvent avoir un impact significatif sur les investissements immobiliers, qu'il s'agisse de la valeur des propriétés, des taux d'intérêt, des taux de change, des politiques fiscales, etc.
En surveillant et en analysant les tendances économiques, le conseiller peut aider l'investisseur immobilier à prendre des décisions éclairées en matière d'investissement immobilier. Par exemple, si l'économie est en phase de ralentissement, l'investisseur immobilier peut décider de se concentrer sur des propriétés de qualité supérieure qui ont des flux de trésorerie plus stables et une moins grande sensibilité aux fluctuations économiques. Si les taux d'intérêt sont bas, l'investisseur peut être encouragé à investir dans des propriétés à fort rendement ou à refinancer des dettes existantes à des taux plus bas.
De plus, l'analyse macroéconomique peut aider le conseiller à identifier les tendances à long terme qui peuvent avoir un impact sur les investissements immobiliers. Par exemple, si les projections démographiques indiquent une augmentation de la demande de logements pour personnes âgées, l'investisseur immobilier peut être encouragé à investir dans des propriétés destinées à ce marché.
En somme, l'analyse macroéconomique est un outil important pour le conseil en gestion de patrimoine de l'investisseur immobilier, qui peut aider à identifier les risques et les opportunités liés aux investissements immobiliers dans le contexte économique et politique global.
- Détermination d’un cahier des charges patrimonial par actifs immobiliers
Le cahier des charges pour le conseil en gestion de patrimoine de l'investisseur immobilier peut varier selon les besoins spécifiques de chaque client. Cependant, certaines des informations et des services que l'on peut s'attendre à trouver dans un cahier des charges typique sont :
- Évaluation de la situation financière : Le conseiller doit évaluer la situation financière de l'investisseur immobilier pour comprendre ses objectifs, ses préférences en matière de risque et ses contraintes financières.
- Analyse de l'investissement immobilier existant : Si l'investisseur immobilier possède déjà des propriétés, le conseiller peut effectuer une analyse approfondie de chaque investissement pour évaluer sa performance et déterminer s'il est rentable.
- Élaboration d'un plan d'investissement immobilier : Le conseiller doit aider l'investisseur immobilier à élaborer un plan d'investissement qui prend en compte ses objectifs financiers à long terme et ses contraintes financières.
- Conseils sur les investissements immobiliers : Le conseiller doit fournir des conseils sur les investissements immobiliers, y compris les propriétés à considérer, les marchés immobiliers à privilégier, les stratégies d'achat et de vente, ainsi que les stratégies fiscales.
- Planification fiscale : Le conseiller doit aider l'investisseur immobilier à planifier sa situation fiscale pour minimiser les impôts sur les investissements immobiliers.
- Gestion de la dette : Le conseiller doit aider l'investisseur immobilier à gérer la dette associée à ses investissements immobiliers.
- Suivi des investissements immobiliers : Le conseiller doit suivre la performance des investissements immobiliers de l'investisseur immobilier et fournir des conseils sur les ajustements à apporter à son portefeuille.